Dans un précédent article (sous référence), nous avons tenté de tracer les principaux aspects de l’évolution pratique du phénomène prostitutionnel dans les grandes villes. Nous examinerons maintenant les conséquences de cette évolution pour les proxénètes qui, dans certains pays comme les Pays-Bas, sont légalement reconnus et appelés «entrepreneurs», avant de tracer quelques pistes de lutte contre cette forme de criminalité internationale.

Sur le marché automobile, trois accessoires sont de plus en plus présents dans les voitures, d’origine ou en option : le régulateur de vitesse, aussi appelé cruise control, le limiteur de vitesse et l’avertisseur de vitesse.

Si les dangers de la consommation de cannabis, notamment les effets néfastes à long terme sur la santé physique et mentale, continuent à être débattus au sein de la communauté scientifique et médicale, ils tendent actuellement à être revus à la hausse. Mais qu’en est-il de la prévalence de consommation et quelles évolutions observe-t-on sur ce marché ?

Comment et pourquoi se pose la question de la prostitution dans les grandes villes au moment où des responsables politiques communaux examinent des projets de sécurisation des lieux de travail des prostituées, comme c’est le cas actuellement à Liège dans le cadre du projet de création d’un «Eros center», inspiré partiellement de l’expérience anversoise (Villa Tinto) ?

Si le dopage jalonne toute l’histoire du sport moderne, il s’est progressivement sophistiqué tant sur le plan des produits et des méthodes que sur celui des modes d’organisation. En contrepartie, la régulation du dopage a elle aussi évolué. De nouveaux acteurs sont ainsi apparus, dans le champ sportif comme au niveau policier, avec la constitution d’unités spéciales au sein de la police et de la gendarmerie, en France et en Belgique, dédiées à la lutte contre le dopage.

Il y a peu, l’Office européen de police (Europol) – basé à La Haye et chargé de faciliter l’échange d’informations entre les différentes polices des Etats membres de l’Union européenne –, a rendu son dernier rapport relatif à l’évaluation de la menace que représente le crime organisé : l’OCTA (Organised Crime Threat Assessment) 2011.