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Les nombreux acteurs impliqués dans le projet TADAM

Nous en arrivons à notre dernier article sur le projet TADAM, un traitement assisté par diacétylmorphine (héroïne pharmaceutique). Les quatre articles précédents avaient trait au contexte de ce projet (voir référence), à ses objectifs, aux expériences étrangères qui lui ont servi d’exemple ainsi qu’à la méthode utilisée pour inclure et évaluer les patients.

© Isabelle Demaret

Après un carrefour, quelle limitation de vitesse dois-je respecter ?

Dans le précédent article repris en référence, nous avons rappelé quelques généralités en matière de vitesse ainsi que le rôle des signaux C43. Ceux-ci ne sont valables que jusqu’au prochain carrefour (ou accès s’il s’agit d’une autoroute), jusqu’au prochain signal C43 déterminant une autre vitesse maximale autorisée ou jusqu’à un signal zonal déterminant un autre régime de vitesse.

© Secunews.be

Enfants handicapés et maltraitances dans les familles et institutions

Dans un premier article, nous avons passé en revue les facteurs de vulnérabilité à la violence sexuelle propres aux enfants handicapés et gravement perturbés en raison même de leur handicap et de leur prise en charge quotidienne. Dans le présent, nous allons analyser les variables qui facilitent la maltraitance à leur égard tant au sein de leur foyer qu’entre les murs des institutions spécialisées qui les accueillent.

© Secunews.be

La criminalité dans les gares belges

Espace public où les navetteurs, les touristes mais aussi les SDF se rencontrent ou s’évitent, les gares sont-elles le théâtre d’une criminalité en augmentation et suscitent-elles un sentiment justifié d’insécurité ? Les données statistiques policières de 2009 indiquent qu’il y a eu 9.208 infractions dans les gares belges et le métro bruxellois, soit 3% à 4% de la délinquance totale enregistrée sur le plan des transports publics.

© Kato Peeters

L’organisation policière aux États-Unis : les polices locales et des comtés

Aux États-Unis, en application du 10e amendement de la Constitution, le système policier est déterminé par la structure politique et géographique de l’État. Les États-Unis disposent ainsi d’une structure organisationnelle policière fortement décentralisée, en principe répartie en quatre catégories : polices locales, polices des comtés, polices d’État et services fédéraux. Le système policier américain est à ce point fragmenté qu’il n’existe quasi aucune homogénéité quant aux titres, rangs, insignes, recrutement, formation et traitement.

© Patrick Decorte