Le jeu du foulard consiste pour des enfants et adolescents à s’étrangler volontairement dans le but de vivre une expérience nouvelle. Cette pratique, d’apparence anodine, peut avoir des conséquences désastreuses et irréversibles pouvant aller jusqu’à la mort. Nous avons déjà eu l’occasion, au travers d’articles précédents (voir ci-dessous), d’examiner plus en avant ces conséquences sur la santé, ainsi que les indices permettant de détecter de telles pratiques et les techniques de prévention en la matière.

Comment connaître le degré de confiance et de légitimité ainsi que les raisons qui influencent la perception des citoyens vis-à-vis de la police? Pour y répondre, nous rappellerons brièvement les résultats de l’enquête du «Moniteur de sécurité» en Belgique avant de détailler quelques aspects importants émanant d’une recherche anglaise concernant les fondements de la confiance et de la légitimité envers les services de police.

Nous nous proposons de rappeler l’impact pour les intervenants de terrain, policiers et professionnels de l’aide, des nouvelles procédures introduites par la loi du 30 novembre 2011 (MB 20.01.2012) dans le but de réprimer plus efficacement les abus sexuels et des faits de pédophilie dans une relation d’autorité.

Après avoir passé en revue les différentes formes de surveillance et de protection des biens et des personnes organisées par la Loi sur la sécurité privée et particulière d’avril 1990 (voir l’article en référence), nous abordons les différents statuts légaux sous lesquels peuvent s’exercer les activités relevant du secteur de la sécurité privée : l’entreprise de gardiennage, le service interne de gardiennage, le régime bénévole et les employés de concessionnaires.

Trafics d’armes et de drogues, vols organisés, traite des êtres humains,… sont les activités criminelles majeures de la mafia albanaise en Europe occidentale. Nous les avons décrites dans le cadre d'articles précédents, tout comme leurs modes d’organisation et d’intégration dans nos sociétés. Afin de clore cette étude, voyons l’incidence de l’ouverture des frontières européennes sur l’implantation de ces groupes mafieux.

Créé par un arrêté royal du 13 juin 1999, le Service des Maisons de Justice répond à de multiples fonctions dont rend largement compte son dernier rapport d’activités 2010. Durant cette année, les Maisons de Justice se voyaient confier 75.378 mandats dont plus d’un tiers concernaient le volet civil (près de 28.000). Parmi ceux-ci, l‘accueil des victimes représentait 24,4% du nombre total de nouveaux dossiers (près de 16.000).