Les mariages de complaisance sont fréquents en Belgique, comme nous l’avons décrit dans des articles précédents. Mais les autres pays de l’Union Européenne sont-ils également confrontés au phénomène des mariages simulés ? Comment réagissent-ils ? 

Que ce soit dans un cadre aux allures religieuses, dans un but initiatique ou dans l’espoir d’une guérison, les personnes qui s’en remettent à un guide spirituel, un chaman, peuvent être amenées à ingérer des préparations de plantes altérant leur état de conscience. Dans son rapport de 2009-2010, le Centre d’Information et d’Avis sur les Organisations sectaires nuisibles (repris en référence) propose une étude de cas : L’usage de substances psychotropes dans le marché du spirituel. Cette étude se penche sur l’utilisation de plantes «psychoactives» dans le cadre d’activités spirituelles.

Le rassemblement de jeunes dans certains quartiers interpelle beaucoup d’habitants : pourquoi les jeunes créent-ils des bandes dans tel quartier et non un peu plus loin ? Comment expriment-ils leur violence ? Que peut-on faire pour combattre les intimidations et dégradations commises en bandes ?

Pour une fête réussie, un accompagnement transversal est obligatoire. Mis en place en concertation avec les acteurs de terrain, il s’agit d’une série de services adaptés tels qu’un stand d’information, un lieu de repos ou un lieu d’assistance médicale (voir le deuxième article de la série). Une série de bonnes pratiques est également identifiée, correspondant à des besoins bien déterminés, adaptées aux risques les plus fréquents, c’est l’objet du présent article.

La quasi-totalité des pays européens est touchée par la problématique des gangs de motards : fin 2012, Europol estimait leur nombre de chapitres à plus de 700. Ainsi tant en Europe de l’Ouest que de l’Est, les Hells Angels sont présents dans 34 pays, tandis que Bandidos et Outlaws sont implantés dans une quinzaine de pays (1).

Sur le terrain, plusieurs outils peuvent être exploités pour réduire les risques possibles dans un contexte festif. A cette fin, un accompagnement transversal est obligatoire. A l’issue d’une réflexion préalable (voir le premier article de la série) rassemblant les acteurs de terrain (commune, organisateurs, secours, sécurité, associations de prévention et de réduction des risques, etc.), se dessine un réseau d’intervenants aux objectifs et aux moyens bien définis.