Malgré une stratégie de lutte du FBI contre les gangs violents au niveau national depuis 1993 et l’engagement de nombreuses forces de sécurité opérant dans les Etats-Unis, comment comprendre que les gangs et leurs membres ne cessent de croître?

L’étude du radicalisme en prison nécessite qu’on situe le contexte général de recrutement avant d'aborder les spécificités de l’univers carcéral et tenter d’y faire face. Que l’on soit directeur de prison, surveillant, imam, aumônier ou simple citoyen, les analyses et les solutions proposées ne se ressemblent pas car elles sont complexes et liées en définitive à des parcours et perceptions individuels.

D’après une vaste enquête menée par le bureau de consultance Möbius, il semble que l’influence du temps d'attente réel sur la satisfaction du visiteur n’est pas très importante. Par contre, la serviabilité, la gentillesse et une bonne formation du personnel jouent un rôle essentiel dans la perception du service. Ces conclusions s’appliquent tant pour le secteur public que pour le secteur commercial.

La lutte contre les gangs américains prend désormais une nouvelle dimension et nécessite de s’adapter à la sophistication de leurs moyens, de bénéficier des ressources adaptées et d’encourager la collaboration entre toutes les agences fédérales, d’Etat et locale.

Unités mythiques ? Spéciales ? Composées de surhommes, super-entraînés ? Tels sont sans doute, dans la conception qu’en a le grand public, voire les policiers eux-mêmes, les critères qui définissent les Unités spéciales de la police fédérale (CGSU). Les hommes qui composent ces unités possèdent sans doute des aptitudes professionnelles très élevées, mais ce ne sont pas des surhommes ! précise P.V.W., le responsable de la formation de ces unités. Comment y entre-t-on ? Quelles sont les aptitudes retenues lors des tests d’entrée et durant le processus de formation ? Nous avons longuement interrogé un candidat et le responsable de la sélection (voir les interviews en référence) à ce propos. Voici un résumé de ces entretiens inédits.

Quels sont les aspects, positifs ou plus difficiles à mettre en œuvre pour les Maisons de justice à partir du premier janvier 2015 ? C'est ce que nous présenterons ci-dessous, car après une période transitoire de 6 mois, les Communautés se verront aussi confier les compétences budgétaires et de personnel pour les Maisons de justice.