L’utilisation de l’ADN dans les enquêtes judiciaires et l’intérêt des banques nationales de données ADN pour relier des affaires provenant de zones de polices, ou d’arrondissement judiciaires différents ne se limitent pas à notre territoire. Le combat contre la criminalité transfrontalière, le crime organisé et la migration illégale est renforcé aujourd’hui via les échanges internationaux de données ADN. En effet, nous savons tous que la criminalité ne s’arrête pas aux frontières, et que la disparition de celles-ci au niveau européen a favorisé la libre circulation des personnes, y compris celle des criminels.
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