L’exploitation de l’ADN dans le domaine pénal peut se réaliser à trois niveaux : intra-dossier, inter-dossiers nationaux et inter-dossiers internationaux. Le niveau intra-dossier se confine à un dossier judiciaire : on compare par exemple l’ADN d’un suspect à l’ADN d’une trace trouvée sur une scène de crime.
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