Le phénomène n’a jamais véritablement reculé. La crise des migrants de 2015 a bien au contraire renforcé ce marché qui, ayant beaucoup de points communs avec les trafics plus traditionnels, est devenu de plus en plus rentable pour les organisations criminelles déjà bien rodées aux questions des routes et moyens d’acheminement illicites de marchandises. Le recyclage de ce know how a-t-il eu un impact sur les modes opératoires et, de facto, sur la manière de lutter contre cette criminalité ?
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