L’usage des médias sociaux par la police est-il pertinent ? Si la question ne se pose plus, l’attention se porte davantage sur la manière et la stratégie à implanter pour répondre, à la fois, aux besoins opérationnels de la police et aux intérêts de la communauté en ligne. Contrairement au public concerné par les médias plus traditionnels, les utilisateurs «online» ne retiendraient que les informations utiles et intéressantes.

Dans un premier texte, nous avons vu à quel point ces dernières années ont vu la sexualité devenir de plus en plus un objet médiatique. Grâce à un accès rendu trop facile, la pornographie s’est banalisée, les signaux de disponibilité sexuelle affluent de toutes parts, l’agir sexuel s’est décomplexé. Utilisée à des fins marketing dans les publicités ou les films, l’hypersexualisation est perçue comme une cause dans les conduites à risques des adolescents.

Quelle est la valeur ajoutée des médias sociaux pour la police ? Comment utiliser ces médias de la manière la plus adéquate ? Quelles potentialités et quelles limites lors de l’ouverture d’un compte ?