Avec la canalisation des violences physiques dans le football belge, l’attention des gestionnaires de la sécurité mais surtout des observateurs s’est partiellement et progressivement reportée, plus nettement à partir des années 2000, sur d’autres formes visibles d’incidents, au premier rang desquels les violences verbales et provocations diverses. Le racisme et, en Belgique, les insultes communautaires ou culturelles sont alors au cœur des débats.
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