Les modus operandi de certaines fraudes sont parfois si grossiers qu’on pourrait croire que les victimes sont particulièrement naïves ou responsables de leurs situations. Qu’en est-il vraiment ? Dans un précédent, nous avions relaté le parcours d’une victime et montré que des facteurs tels que le contexte, la pression et la mise en scène de l’escroquerie sont cruciaux et décisifs dans son processus de décision. Ici, nous reviendrons sur les origines de la fraude par social engineering et les organisations criminelles qui l’utilisent.
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