Dans l’article précédent, nous avons listé les symptômes physiques fortement suspects d’une violence à caractère sexuel. Or, dans de nombreux cas, les maltraitances sexuelles n’entraînent pas de séquelles physiques évidentes. Même lorsque l’on procède à un examen médical immédiatement après un viol, des dommages corporels ne sont pas systématiquement détectés. En effet, dans la grande majorité des cas, les abus sont commis par des proches sans brutalité. De plus, les violences perpétrées contre les enfants consistent aussi en attouchements, simulations d’actes sexuels et pénétrations buccales.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés de SecuNews.be. Vous pouvez cliquer ici pour souscrire à un abonnement.