Si le terrorisme à motif religieux n’est pas récent (on se souvient de la secte juive des Zélotes, des «assassins», etc.), l’exploitation de l’idéologie religieuse par des mouvements terroristes n’a jamais été abandonnée. Aujourd’hui encore, la stratégie de tentative de destruction des systèmes étatiques, adoptée par des mouvements politiques et séparatistes, emprunte la voie d’une l’instrumentalisation abusive de la religion. Or, le terrorisme à motif religieux recourt aux meurtres, aux menaces, aux rackets. Il répand la terreur pour réaliser exclusivement des intérêts politiques propres.
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