S’exprimant à l’occasion de l’Anti-trafficking day d’octobre 2010, la Commissaire européenne responsable des Affaires Intérieures a regretté que seules, quelques milliers de personnes soient actuellement prises en charge, sur les centaines de milliers de victimes de trafics d’êtres humains recensées chaque année sur le territoire de l’Union européenne. En effet, bien que la majorité de ces filières clandestines vise à alimenter l’industrie du sexe, l’on constate que d’autres secteurs, tels que le bâtiment, la restauration et l’agriculture, puisent aussi et de plus en plus dans ce vivier de main d’œuvre «bon marché».
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