Sans critiquer une seule seconde les outils traditionnels (police répressive, armée, diplomatie) mis à la disposition des services de lutte contre la grande criminalité, deux policiers, l’un Belge et l’autre Français, proposent d’ouvrir le débat de l’introduction du «renseignement» dans la sphère policière. Une synthèse de cette démarche intéressante et originale contenue dans un ouvrage paru récemment aux Editions CNRS : «Le Renseignement criminel» (voir référence).
La lecture de cet article est réservée aux abonnés de SecuNews.be. Vous pouvez cliquer ici pour souscrire à un abonnement.