Dans l'article précédent, nous avons évoqué un lien de cause à effet entre frustration et agression, en précisant que cette hypothèse présente quelques faiblesses. En effet, certains processus psychologiques (règles sociales, inhibitions...) peuvent réduire la probabilité d'une réponse agressive et d'autre part la représentation mentale que l'individu se fait d'une expérience déplaisante et frustrante dépend de l'origine de celle-ci, de ses causes, de la nature des émotions qu'elle suscite et cela en fonction de ses autres expériences vécues et de ses apprentissages antérieurs.
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