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La drogue du viol, ses effets ...

Dans l’article précédent, nous avons dressé le portrait du GHB, la drogue dite du viol. Cette substance diminue la résistance physique et psychique de la victime. Elle la prive de sa force, de ses facultés mentales, de sa volonté et de sa mémoire. Cet article se propose de détailler ces effets.

© Fed Pol-Inforevue

La drogue du viol, de quoi parle-t-on ?

Pour commettre un viol ou des attouchements sexuels, des agresseurs n’hésitent pas à soumettre leur victime en lui administrant une substance psycho-active à son insu, par exemple, en la diluant dans sa boisson. Bien que le nombre d’agressions sexuelles commises selon cette méthode, connue dans les pays anglo-saxons sous le nom de drink spiking, soit significatif, il reste largement sous-estimé et méconnu du grand public.

© Fed Pol-Inforevue

Gérer les clés d’un établissement : des procédures rigoureuses

Sécuriser un établissement d’envergure tel une école, une académie ou un hall sportif n’est pas toujours chose aisée. Nous avons déjà eu l’occasion de rappeler certains principes importants à respecter pour améliorer cette sécurité (définir une politique, gérer l’accès aux bâtiments,…). Examinons aujourd’hui la question particulière de la gestion des clés. 

© Patrick Decorte

Banque de données ADN "Personnes Disparues" : pourquoi, comment et quand ?

En 2014, la Cellule Personnes Disparues de la police fédérale a enregistré plus de 50 cas de disparitions non résolues et 6 dossiers où des dépouilles retrouvées n’ont pas pu être identifiées. Depuis la mise en place de cette cellule, il y a 20 ans, presque 1000 dossiers sont encore à ce jour non élucidés. Etant donné que l’analyse ADN est un des moyens d’identification par excellence, la mise en place d’une banque de données «Personnes Disparues» en Belgique contribuera dans une large mesure à l’identification de personnes décédées inconnues.

© Protection civile