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Le blanchiment des fonds de la cybercriminalité : cryptomarchés et cryptomonnaies

Si le cybercrime devient de plus en plus accessible, les gains – souvent financiers – demeurent difficiles à monétiser lors de leur passage du virtuel vers l’économie réelle et licite. Par contre, les monnaies numériques dont le développement soulève de nombreuses questions tant au niveau de leur utilisation que de la législation, peuvent-elles représenter de nouvelles opportunités pour le cybercriminel ?

© Police locale Namur

Bandes de jeunes : tous les groupes ne posent pas problème

Les jeunes gens ne traînent pas tous en rue et, ceux qui s’y trouvent, ne sont pas nécessairement sources de conflits. De manière générale, on peut distinguer quatre types de bandes de jeunes au sein de l’espace public. La typologie suivante a été établie par le bureau Beke, aux Pays-Bas, et a été utilisée par la police néerlandaise afin de réaliser une cartographie de ces groupements par «régions de police».

© S. Van Malleghem

Le nouveau modèle économique de la cybercriminalité, le service à la carte

La cybercriminalité est-elle devenue une industrie à part entière ? On observe en tout cas l’émergence et la migration des marchés noirs traditionnels vers internet. L’évolution du cyberespace entraîne en outre une dynamique très particulière de l’offre et la demande, à savoir l’apparition d’un nouveau modèle économique caractérisé par la notion de cybercrime en tant que service ou denrée commercialisable.

© Polimagery