Les accidents entre véhicules prioritaires en mission urgente et autres usagers de la route ne sont pas rares. Le chauffeur urgentiste doit en permanence évaluer les risques en fonction de l’objectif recherché, "sauver des vies humaines", tandis que les feux bleus et sirène obligent les usagers ordinaires de faciliter au mieux le passage du véhicule d’urgence.
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Qu’il s’agisse de graves accidents industriels, de catastrophes naturelles ou de grands rassemblements pouvant comporter des risques sur le plan de l’ordre public, les autorités publiques doivent veiller à ce que les services d’intervention et de secours concernés soient préparés à réagir avec toute l’efficacité requise. Après avoir expliqué, dans un premier article, l’origine des plans catastrophe en Belgique et le concept de situation d’urgence, nous nous focalisons ici sur la coordination des opérations.
Un groupe de 15 cyclistes ou plus, peut-il ou doit-il prévoir des capitaines de route et des voitures d’escorte ? A partir de combien de participants ? Comment doit s’effectuer cet encadrement ? Après avoir abordé les petits groupes de cyclistes, voyons ce qui est prévu réglementairement pour les groupes de 15 à 50 participants, voire plus.
Les achats en ligne font dorénavant partie de nos pratiques courantes. Il est donc naturel de voir le marché du médicament suivre cette tendance avec une floraison de sites proposant, parfois à un prix très concurrentiel, toute une panoplie de médicaments, de brûleurs de graisse ou d’érectiles pour lesquels un achat en pharmacie peut sembler embarrassant.
Deux cyclistes peuvent-ils rouler ensemble de front ? Et s’il s’agit d’un groupe de cyclistes ? Doivent-ils rouler sur la piste cyclable ou peuvent-ils emprunter la chaussée ? Un rappel succinct des règles à suivre lorsque vous partez en ballade à vélo à deux ou en petit groupe.
De nombreux produits à usage courant contiennent des substances nocives pour notre santé et pour notre environnement. Des recommandations précises pour éviter tout risque lors de l’utilisation des produits ménagers et la gestion de leurs déchets.
Les médias expriment souvent de manière ponctuelle et déformée l’isolement et la «loi du plus fort» qui règnent dans certains quartiers des banlieues des grandes villes françaises. Voyons les conclusions d’une enquête menée durant cinq années par le sociologue Didier Lapeyronnie, au sein des quartiers populaires d’une ville moyenne de France.