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Banque de données ADN "Personnes Disparues" : pourquoi, comment et quand ?

En 2014, la Cellule Personnes Disparues de la police fédérale a enregistré plus de 50 cas de disparitions non résolues et 6 dossiers où des dépouilles retrouvées n’ont pas pu être identifiées. Depuis la mise en place de cette cellule, il y a 20 ans, presque 1000 dossiers sont encore à ce jour non élucidés. Etant donné que l’analyse ADN est un des moyens d’identification par excellence, la mise en place d’une banque de données «Personnes Disparues» en Belgique contribuera dans une large mesure à l’identification de personnes décédées inconnues.

© Protection civile

Le blanchiment des fonds de la cybercriminalité : cryptomarchés et cryptomonnaies

Si le cybercrime devient de plus en plus accessible, les gains – souvent financiers – demeurent difficiles à monétiser lors de leur passage du virtuel vers l’économie réelle et licite. Par contre, les monnaies numériques dont le développement soulève de nombreuses questions tant au niveau de leur utilisation que de la législation, peuvent-elles représenter de nouvelles opportunités pour le cybercriminel ?

© Police locale Namur

Bandes de jeunes : tous les groupes ne posent pas problème

Les jeunes gens ne traînent pas tous en rue et, ceux qui s’y trouvent, ne sont pas nécessairement sources de conflits. De manière générale, on peut distinguer quatre types de bandes de jeunes au sein de l’espace public. La typologie suivante a été établie par le bureau Beke, aux Pays-Bas, et a été utilisée par la police néerlandaise afin de réaliser une cartographie de ces groupements par «régions de police».

© S. Van Malleghem