En 2014, la Cellule Personnes Disparues de la police fédérale a enregistré plus de 50 cas de disparitions non résolues et 6 dossiers où des dépouilles retrouvées n’ont pas pu être identifiées. Depuis la mise en place de cette cellule, il y a 20 ans, presque 1000 dossiers sont encore à ce jour non élucidés. Etant donné que l’analyse ADN est un des moyens d’identification par excellence, la mise en place d’une banque de données «Personnes Disparues» en Belgique contribuera dans une large mesure à l’identification de personnes décédées inconnues.
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Comment se manifestait en 2014 la menace terroriste en Europe et quel a été son impact ? Depuis une douzaine d'années, l’agence européenne EUROPOL publie un rapport annuel sur ces questions. Appelé « Te-Sat », ce rapport relève les différentes formes de terrorisme, parfois éloignées du sens commun, et en fait un recensement.
Les établissements scolaires et extrascolaires (hall omnisports, piscine, académie de musique,…) peuvent être des endroits propices à la commission d’actes de délinquance les plus divers (graffiti, bris de vitre, racket, vol, incendie,…).
Si le cybercrime devient de plus en plus accessible, les gains – souvent financiers – demeurent difficiles à monétiser lors de leur passage du virtuel vers l’économie réelle et licite. Par contre, les monnaies numériques dont le développement soulève de nombreuses questions tant au niveau de leur utilisation que de la législation, peuvent-elles représenter de nouvelles opportunités pour le cybercriminel ?
Une fois le plan de prévention au sein d'un hôpital établi, comment peut-on concrètement mettre en œuvre la politique et les mesures qui en découlent ? Trop souvent négligé, l’enregistrement des incidents joue pourtant un rôle essentiel dans la politique de sécurisation.
Depuis 1998, la loi football et la responsabilisation des clubs dans l’organisation de la sécurité autour des matches de football, on observe une diminution de la mobilisation des effectifs policiers, qui peuvent dès lors être affectés à d’autres opérations. Qui sont effectivement les spotters ?
Les jeunes gens ne traînent pas tous en rue et, ceux qui s’y trouvent, ne sont pas nécessairement sources de conflits. De manière générale, on peut distinguer quatre types de bandes de jeunes au sein de l’espace public. La typologie suivante a été établie par le bureau Beke, aux Pays-Bas, et a été utilisée par la police néerlandaise afin de réaliser une cartographie de ces groupements par «régions de police».